Le Gabon réagit à la situation alarmante des enfants issus de l’immigration placés abusivement en France.

Transmis par Laila Daif

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La France serait confrontée à une crise alarmante impliquant des enfants placés abusivement  souvent issus de l’immigration, et seraient victimes de violations massives de leurs droits. Les départements français, en collusion avec des associations, seraient  impliqués dans des crimes tels que viols, trafic, et abus sexuels, mettant en péril la sécurité et le bien-être de ces enfants vulnérables, si l’on croit toutes les dénonciations  de ces faits sur les réseaux sociaux.Les conséquences psychologiques à long terme pour ces enfants seraient dévastatrices, allant de la perte des valeurs familiales, religieuses, ainsi que des traumatismes profonds et des troubles relationnels. Il est donc impératif de sensibiliser les ambassades de tous les pays sur cette situation critique qui souligne un danger imminent pour ces enfants et l’impact potentiel sur leur pays d’origine.Des actions concertées, telles que des campagnes de sensibilisation, des partenariats internationaux et des pressions diplomatiques, sont nécessaires pour protéger ces enfants, garantir leurs droits fondamentaux et mettre fin à ce système criminel d’enlèvement d’enfants à des fins lucratives. Il est temps d’agir pour assurer la sécurité et le bien-être de ces enfants, qui sont devenus malheureusement une marchandise pour les départements français.  Lors de plusieurs rendez-vous en visioconférence, Mme Gladys EYANG, représentante départementale d’un parti politique, a partagé des informations préoccupantes concernant la sécurité et la protection de ses enfants. Confrontée à des problèmes graves liés au placement de ses enfants dans l’Essonne, elle s’est rendue à la Maison Départementale de Solidarité de Massy, où sa fille de 14 ans a révélé des éléments inquiétants sur leur environnement.Malgré ses multiples demandes de clarification adressées à la juge chargée du dossier, Mme EYANG a été confrontée à des menaces sérieuses. Cette situation a conduit l’État gabonais à intervenir en urgence pour protéger sa famille franco-gabonaise.Actuellement résidente à l’étranger, Mme EYANG cherche à transférer la garde de ses enfants vers un autre pays pour des raisons de sécurité, suite à des tentatives d’assassinat qu’elle attribue à l’ASE et au préfet de l’Essonne. Elle a également révélé que la personne référente de l’ASE cherchait à la faire chanter pour obtenir sa nouvelle adresse de résidence. Des plaintes ont été déposées par l’État gabonais contre les personnes impliquées. Seule son avocate, Maître Caroline Guincestre, est informée de la situation.Mme EYANG exprime son inquiétude face à la fermeture de ses comptes bancaires et demande instamment de récupérer l’argent qui lui aurait été volé. Elle insiste sur l’urgence de régler des dettes impayées et des problèmes liés à la vente d’un appartement. Elle encourage son avocate à réagir rapidement face à ces urgences et à résoudre les problèmes en suspens, précisant qu’elle ne réside plus en France. Elle exprime également un besoin pressant de retrouver l’accès à ses comptes bancaires et de récupérer la garde de ses enfants, soulignant l’importance de résoudre ces situations critiques au plus vite.Malheureusement, à l’heure actuelle, l’Aide Sociale à l’Enfance a envoyé ses enfants en colonies de vacances sans son consentement, selon les propos rapportés par Mme EYANG lors de nos échanges en visioconférence.

 

La France serait confrontée à une crise alarmante impliquant des enfants placés abusivement  souvent issus de l’immigration, et seraient victimes de violations massives de leurs droits. Les départements français, en collusion avec des associations, seraient  impliqués dans des crimes tels que viols, trafic, et abus sexuels, mettant en péril la sécurité et le bien-être de ces enfants vulnérables, si l’on croit toutes les dénonciations  de ces faits sur les réseaux sociaux.
Les conséquences psychologiques à long terme pour ces enfants seraient dévastatrices, allant de la perte des valeurs familiales, religieuses, ainsi que des traumatismes profonds et des troubles relationnels. 
Il est donc impératif de sensibiliser les ambassades de tous les pays sur cette situation critique qui souligne un danger imminent pour ces enfants et l’impact potentiel sur leur pays d’origine.
Des actions concertées, telles que des campagnes de sensibilisation, des partenariats internationaux et des pressions diplomatiques, sont nécessaires pour protéger ces enfants, garantir leurs droits fondamentaux et mettre fin à ce système criminel d’enlèvement d’enfants à des fins lucratives. Il est temps d’agir pour assurer la sécurité et le bien-être de ces enfants, qui sont devenus malheureusement une marchandise pour les départements français.  

 C’est pour  cela que je  tiens à exprimer mon admiration envers  le président son excellence  Mr Brice Clotaire  Oligui Nguema  pour sa réactivité et son engagement envers la protection des droits des ressortissants gabonais, en difficulté à l’étranger,https://akoma.ga/, notamment face aux placements abusifs d’enfants gabonais en France, Pour ne citer que Gladys et ses enfants .

Lors de plusieurs rendez-vous en visioconférence, Mme Gladys EYANG, représentante départementale d’un parti politique, a partagé des informations préoccupantes concernant la sécurité et la protection de ses enfants. Confrontée à des problèmes graves liés au placement de ses enfants dans l’Essonne, elle s’est rendue à la Maison Départementale de Solidarité de Massy, où sa fille de 14 ans a révélé des éléments inquiétants sur leur environnement.
Malgré ses multiples demandes de clarification adressées à la juge chargée du dossier, Mme EYANG a été confrontée à des menaces sérieuses. Cette situation a conduit l’État gabonais à intervenir en urgence pour protéger sa famille franco-gabonaise.
Actuellement résidente à l’étranger, Mme EYANG cherche à transférer la garde de ses enfants vers un autre pays pour des raisons de sécurité, suite à des tentatives d’assassinat qu’elle attribue à l’ASE et au préfet de l’Essonne. Elle a également révélé que la personne référente de l’ASE cherchait à la faire chanter pour obtenir sa nouvelle adresse de résidence. Des plaintes ont été déposées par l’État gabonais contre les personnes impliquées. Seule son avocate, Maître Caroline Guincestre, est informée de la situation.
Mme EYANG exprime son inquiétude face à la fermeture de ses comptes bancaires et demande instamment de récupérer l’argent qui lui aurait été volé. Elle insiste sur l’urgence de régler des dettes impayées et des problèmes liés à la vente d’un appartement. Elle encourage son avocate à réagir rapidement face à ces urgences et à résoudre les problèmes en suspens, précisant qu’elle ne réside plus en France. Elle exprime également un besoin pressant de retrouver l’accès à ses comptes bancaires et de récupérer la garde de ses enfants, soulignant l’importance de résoudre ces situations critiques au plus vite.
Malheureusement, à l’heure actuelle, l’Aide Sociale à l’Enfance a envoyé ses enfants en colonies de vacances sans son consentement, selon les propos rapportés par Mme EYANG lors de nos échanges en visioconférence.

 

@LilouThePeste

 

 

Le Gabon réagit à la situation alarmante des enfants issus de l’immigration placés abusivement en France.